Month: octobre 2012

PANIQUER OU PRIER ?

Une femme de 85 ans, seule dans un couvent, s’est retrouvée prise dans un ascenseur pendant quatre nuits et trois jours. Heureusement, elle avait une cruche d’eau, quelques bâtons de céleri et quelques pastilles contre la toux. Après avoir tenté en vain d’ouvrir les portes de l’ascenseur et d’obtenir un signal de téléphone cellulaire, elle a décidé de se tourner vers Dieu en prière. « C’était paniquer ou prier », a-t-elle déclaré plus tard sur CNN. Dans sa détresse, elle s’est fiée à Dieu et a attendu les secours.

JÉSUS EST PRÈS

Samuel, qui avait 4 ans et qui venait de finir son repas, a demandé la permission de sortir de table. Il voulait aller jouer dehors. Cependant, comme il était trop jeune pour sortir seul, sa mère lui a répondu : « Non, tu ne peux pas sortir seul. Tu dois attendre que je finisse mon repas pour sortir avec toi. » Il lui a alors lancé du tac au tac : « Mais, maman, Jésus est avec moi ! »

ENCORE DANS LA MAIN DE DIEU

Pendant ma première année de séminaire, une nouvelle amie m’a décrit sa vie. Son mari l’avait abandonnée et elle élevait deux jeunes enfants seule. Gagnant à peine plus que le salaire minimum, elle avait peu de chances d’échapper à la pauvreté et aux dangers qu’elle décrivait dans son quartier.

FACILITER LES CHOSES

Lorsque ma fille Debbie était petite, elle a suivi des cours de ballet. Un exercice de danse exigeait qu’elle saute par-dessus un tapis de gymnastique roulé. La première tentative de Debbie a eu pour résultat de la faire rebondir sur cet obstacle. Saisie, elle est restée assise au sol pendant un instant, puis elle s’est mise à pleurer. Je me suis précipité pour l’aider à se remettre debout et lui dire quelques mots destinés à la réconforter. Puis, en la tenant par la main, j’ai couru avec elle jusqu’à ce qu’elle parvienne à sauter par-dessus le tapis roulé. Debbie avait besoin de mes encouragements pour lui faciliter les choses.

PORTER ENCORE DU FRUIT

La récolte tarde parfois. Il nous arrive parfois de semer l’espoir sans même le savoir. Parfois, le fruit de notre vie se présente aussi sous une forme et à un moment tout à fait inattendus.

BAISSEZ LES MAINS

Je devrais avoir les empreintes de ma mère sur le genou compte tenu de toutes les fois où elle m’a serré la jambe à l’église en me murmurant sans ambages : « Arrête. » À l’instar de tous les garçons, je me tortillais dans des endroits comme l’église. Pendant des années, quand je lisais : « Arrêtez, et sachez que je suis Dieu » (Ps 46.10), j’ai cru que cela voulait dire de ne pas s’agiter.

LES GENS LES MOINS PUISSANTS

Dans la publication électronique intitulée 24/7 Wall St. , on a fait paraître une liste hors de l’ordinaire intitulée The 100 Least Powerful People (Les 100 personnes les moins puissantes). Parmi les gens listés se trouvaient des chefs d’entreprise, des personnalités du monde des sports, des politiciens et des célébrités qui avaient une chose en commun : ils avaient déjà été puissants. Certains d’entre eux avaient été victimes des circonstances, d’autres avaient pris de mauvaises décisions d’affaires et d’autres encore avaient perdu leur influence à cause d’un échec moral.

TOUT EST DANS L’À-PROPOS

J’ai mis quelques mois à réaliser que ce que j’avais cru être une rencontre fortuite était en réalité le sens de l’à-propos chez mon futur mari.

LE COÛT ÉLEVÉ DE LA VIE

Lorsque j’étais jeune, je trouvais que le coût de la vie chez mes parents était trop élevé. En y repensant, je ris tellement j’étais ridicule de m’en plaindre. Mes parents ne m’ont jamais demandé un seul centime pour vivre sous leur toit. Le seul « coût » à payer, c’était l’obéissance. Je n’avais qu’à obéir aux règles comme ramasser mon désordre, être polie, dire la vérité et fréquenter l’Église. Ces règles n’étaient pas difficiles, mais j’avais quand même du mal à y obéir. Mes parents ne m’ont toutefois pas mise à la porte à cause de ma désobéissance. Ils se sont contentés de me rappeler que ces règles servaient à me protéger, et non à me faire du tort, et il leur est arrivé de rendre les règles plus strictes encore afin de me protéger contre moi-même.

SOYEZ CONTENT

Il est difficile de parvenir au contentement. Même l’apôtre Paul, un héros de la foi, a dû apprendre le contentement (Ph 4.11). Ce trait de caractère n’était pas naturel chez lui.